De Paris à Tokyo, des huiles d’olive monovariétales françaises multimédaillées.

Oliv&sens et le Chef Clément Lopez


Oliv&sens et le Chef Clément Lopez

Nous avons le plaisir et l'honneur de voir nos huiles d'olive Bouteillan et Aglandau en cuisine du Chef du Restaurant L'Artichaut, Clément Lopez.

Retrouvez ci-dessous la retranscription de son témoignage sur nos huiles d'olive.

Merci Clément pour ce joli témoignage !

  • Pendant la dégustation comment avez vous orienté votre choix vers les deux huiles que vous avez sélectionnées ?
    Ce qui m’a marqué lors de notre dégustation c’est vraiment la fraicheur des huiles, je les ai trouvées d’une grande fraicheur et le coté herbacé qui j’ai ressenti dans la Bouteillan m’a vraiment surpris et j’ai adoré ça, car ce n’est pas souvent qu’on a ce côté vert, herbacé aussi prononcé dans une huile d’olive.
    C’est clairement ma préférée.
  • Pourquoi avoir également choisi l’Aglandau ?
    L’Aglandau a un peu les mêmes caractéristiques, plus légère, plus en finesse et moins concentrée que la Bouteillan.
    L’Aglandau je l’associe plus avec les légumes, légumes en général, chauds ou froids, parce qu’elle est plus ronde, plus douce. Pour tout ce qui est poisson, fruits de mer, la Bouteillan, parce qu’elle ressort plus, et parce qu’elle a ce côté vert, herbacé qui va si bien avec.
  • Est-ce que notre offre monovariétale est quelque chose qui vous a séduit ?
    Complètement. Ça me rappelle un peu le vin avec les mono-cépages : la Bourgogne ou la vallée du Rhône avec la Syrrha et c’est vrai qu’on ressent vraiment la différence entre chaque variété d’olives.
  • Une bonne huile d’olive c’est quoi pour vous ?
    C’est avoir du plaisir à la gouter ! Après il y aussi l’histoire, la façon dont s’est travaillée, dont c’est présenté, le côté artisanal et après le gout, le gras, la longueur en bouche. C’est pour ça que c’est un peu similaire avec le vin, parce qu’il y a des longueurs en bouche différentes, que ce soit pour le vin ou l’huile d’olive : tout comme un vin accompagne un plat, l’huile d’olive également, c’est très similaire, que ce soit au niveau des terroirs, de la variété de l’olive et au niveau du goût.
    La Bouteillan me fait penser au Chablis. Vous avez des Chablis en premier cru qui on ce côté hyper herbacé, vous l’avez au nez, vous l’avez en bouche à la fin et que j’ai retrouvé dans la Bouteillan. C’est intéressant.
  • Et l’association avec le sucré ?
    L’huile d’olive va bien avec le chocolat, avec les fruits, une salade de fruit, un sirop et en sorbet c’est très bon !
  • On déguste à nouveau les huiles
    Aglandau - très douce, très fine, légèrement poivrée sur la fin, légère acidité, assez légère, plus ronde, plus grasse que la Bouteillan.
    Picholine - bien ronde, toujours ce côté poivré, on commence à ressentir les herbes.
    Bouteillan - plus fluide que l’Aglandau, du poivre aussi, touche d’agrumes en plus, un petit peu d’amertume qu’on peut retrouver dans le zeste.
    Négrette - On bascule sur autre chose, y a un coté olive noire, et du poivre aussi.
    Goût à l’ancienne - Elle est onctueuse, beaucoup moins poivrée que la Négrette, belle rondeur en bouche, elle prend bien le palais.
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Le Chef Clément Lopez (L'Artichaut) et Oliv&sens

Publié le 31 octobre 2022